La Banque de Savoie nous donne les moyens d’avancer
Le parcours d’Anthony Natuzzi est celui d’un commercial heureux. « Je suis entré à la Banque de Savoie en ayant le souci de conserver l’autonomie que j’avais en tant que VRP indépendant. Et ça a marché ! Dans le réseau, j’ai pu définir moi-même les contours de mon poste, en consolidant mes compétences, à mon rythme. »
Quelle a été votre première impression quand vous êtes entré à la Banque de Savoie en 1995 ?
Lors de mon entretien d’embauche, je ne m’attendais pas à rencontrer le Directeur général de la Banque de Savoie en personne ! Des dirigeants accessibles et présents, ce n’est pas commun. La qualité des rapports humains qui règne dans le groupe m’a beaucoup surpris. Tout le monde se connait et agit avec un véritable esprit d’équipe. Très vite, j’ai senti que mon engagement personnel pouvait m’apporter des opportunités d’évolution. Nos dirigeants m’ont laissé faire mes preuves pendant six mois et comme ils passent rapidement des paroles aux actes, ils n’ont pas attendu pour me confier le poste de Responsable du point de vente de Val Thorens ! Ma première intuition s’est confirmée : j’avais eu raison de ne pas entrer dans un grand groupe et de me tourner vers un réseau à taille humaine qui correspondait à mon tempérament, plutôt indépendant et autonome.
Quelles ont été les grandes étapes de votre évolution au sein de la Banque de Savoie ?
A Val Thorens, j’ai animé une petite équipe de deux employés six mois après mon arrivée dans le réseau. Dès mes premiers pas de commercial, j’ai eu la chance de bénéficier des dispositifs de gestion de carrière individualisés.
A la Banque de Savoie, la montée en compétences est facilitée par une offre de formation constante. J’ai donc opté pour le module qui mène aux métiers du management. Cet enseignement m’a permis d’accéder à la Direction d’une agence en 2004, où j’avais la responsabilité de 5 collaborateurs.
Puis je suis allé au-delà de cette formation généraliste en affinant mon expertise sur le marché des entreprises.
En 2009, je suis devenu Directeur de clientèle entreprise sur le segment des sociétés dont le chiffre d’affaire est supérieur à 1,5M€. Notre Centre d’affaires, implanté à Albertville, gère 400 comptes sur un territoire qui comprend la Tarentaise, la Maurienne et les stations de notre Pôle montagne.
Quels sont les défis que vous avez relevés à ce nouveau poste ?
Il y a 8 ans, la fonction que j’occupe aujourd’hui n’existait pas ! Avec l’appui de la Direction, j’ai pu organiser notre activité en trois ans. Je l’ai structurée avec 3 chargés d’affaires et 2 technico-commerciaux. Le soutien de nos dirigeants était indispensable pour développer cette structure sur un secteur montagnard aussi spécifique que complexe. Ce soutien m’a prouvé, une fois encore, que la Banque de Savoie donne les moyens d’avancer à ceux qui le souhaitent.
Sur quels types d’initiatives la Direction vous a-t-elle suivi en particulier ?
J’ai pu appliquer mes propres principes, les méthodes auxquelles je crois : l’écoute, l’animation de la clientèle locale. Depuis trois ans, par exemple, j’invite nos clients à des rencontres à thème. Ils se retrouvent tous les deux mois en petit comité de 15 personnes, autour d’un déjeuner de 12h à 14h. Un intervenant présente en une demi-heure les grandes lignes d’un sujet comme la prévention de la cybercriminalité ou l’épargne salariale… Ils ont ensuite une heure pour débattre de ce thème qui fait écho à leurs préoccupations.
Grâce au budget alloué par la Direction, ces rencontres conviviales renforcent notre communication sur l’ensemble des thèmes bancaires. Plus largement, elles optimisent notre image de banque de qualité. Nos clients apprécient que notre Centre d’affaires joue le rôle d’un Club de réflexion entre décideurs. Chacun se présente et il arrive que nos clients nous fassent rencontrer des prospects. Le format intimiste de ce joli vecteur de business a été repris sur d’autres secteurs du Centre d’Affaires. Un succès qui encourage la créativité !